Le Soleil du 23 Fevrier 2008
4 participants
Isabelle Boulay... En toute simplicité :: En toute simplicité: le site :: Isabelle dans la presse :: Sur Internet
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Le Soleil du 23 Fevrier 2008
Hello,
Un autre article avec une autre belle photo, meme si moins recente:)
'''''''Des lendemains qui chantent pour Isabelle Boulay
«Je me sentais le cœur comme une boîte à musique»
Il y a un peu moins d’un an, tout juste après avoir terminé son album country au Québec, Isabelle Boulay est entrée en studio à Paris. Et elle s’est sentie libérée.
Ma voix, je la sentais plus fluide qu’avant, débarrassée de plein de choses qui étaient inutiles, comme s’il y avait eu un grand nettoyage. (…) Je me sentais le cœur comme une boîte à musique», décrit la chanteuse au téléphone, du Quality Inn de Matane, où elle s’est arrêtée pour un spectacle cette semaine.
Avant d’enregistrer De retour à la source, sorti en avril l’an dernier, Isabelle Boulay travaillait déjà sur son nouveau disque, qui arrivera dans les magasins mardi.
«Mais pour moi, explique-t-elle, c’était essentiel de faire l’album De retour à la source avant. Si je ne l’avais pas fait, il y a quelque chose qui me serait resté coincé. Ça a ouvert le passage pour Nos lendemains.»
La chanteuse n’avait pas l’intention de s’offrir un deuxième disque country, mais elle voulait continuer d’explorer ses racines. Quand elle était jeune, sa mère écoutait du country, mais aussi beaucoup de chanson française et québécoise. Avec ce nouvel album, «c’est comme si j’allais ouvrir sur l’autre partie de mes influences musicales», dit-elle.
Élégance
Pour donner le ton, Isabelle Boulay est arrivée au studio parisien du réalisateur Dominique Blanc-Francard avec sa version de Coucouroucoucou Paloma, une chanson de Tomas Mendez Sosa adaptée en français par Jacques Larue et Eddy Marnay, que Nana Mouskouri a popularisée il y a plus de 30 ans.
«Je voulais avoir un album qui a cette élégance-là, mais avec le son contemporain, explique Isabelle Boulay. Si vous prêtez attention aux disques de Nana Mouskouri, ce sont des disques produits avec beaucoup d’élégance. On sentait le folklore musical, on sentait les racines de la musique. Et moi, je voulais avoir un album très féminin, très sensuel, pas trop produit. Je voulais avoir un album qui soit un peu moins lyrique.»
Une direction que Dominique Blanc-Francard souhaitait aussi prendre, note Isabelle Boulay, qui voulait travailler avec lui depuis 15 ans. Le réalisateur d’Engelberg, de Stéphane Eicher, et la Gaspésienne avaient déjà collaboré sur la chanson La lune, de l’album État d’amour. Mais c’est l’an dernier qu’ils ont décidé de faire un album ensemble.
Dominique Blanc-Francard avait été charmé par la partie acoustique d’un spectacle d’Isabelle Boulay en France. «Il m’a dit : “C’est vraiment beau, tu devrais faire un disque qui aille dans cette direction”, raconte la chanteuse. Je lui ai répondu que c’était exactement l’envie que j’avais pour mon prochain album. Et j’ai dit : “En passant, j’aimerais bien le faire avec toi”.»
Les 13 chansons de Nos lendemains ont toutes été enregistrées dans le studio de Dominique Blanc-Francard à Paris. Et elles ont été écrites et composées par une prestigieuse liste de collaborateurs, parmi lesquels Julien Clerc, Jacques Veneruso, Didier Golemanas, Benjamin Biolay, Jean-Loup Dabadie, Maxime LeForestier et Laurence Jalbert.
«Ce qui est drôle, remarque Isabelle Boulay, c’est que c’est un album qui est très féminin qui a été écrit par une majorité d’hommes. (…) Des hommes très hommes, mais très sensibles en même temps.»
Isabelle Boulay a aussi collaboré avec le romancier Guillaume Vigneault, qui a traduit la chanson Tomorrow in her eyes, de Ron Sexsmith, devenue Nos lendemains sur l’album. «Je me souviens de lui avoir fait entendre de Ron Sexsmith qu’il ne connaissait pas. (…) C’est lui qui m’a fait la surprise d’arriver chez moi avec une adaptation qui était déjà faite aux deux tiers et qu’on a terminée ensemble», raconte-t-elle.
En tournée
Avant de partir pour une grande tournée dans l’Hexagone au mois de mars, Isabelle Boulay a entamé au Québec une série de 21 représentations d’un spectacle intitulé Ta route est ma route, qui comprend les chansons de Nos lendemains, de l’album country et de ses plus grands succès. Elle sera à la salle Albert-Rousseau demain.
La mise en scène est assurée par Yves Desgagnés, bien connu des amateurs de théâtre. Michel Beaulieu, qui a travaillé avec Diane Dufresne et Michel Rivard, s’occupe des éclairages. Isabelle Boulay se réjouit de pouvoir travailler avec ces deux créateurs. «C’est comme pour une actrice d’être dirigée par un grand réalisateur.»''''''''
Un autre article avec une autre belle photo, meme si moins recente:)
'''''''Des lendemains qui chantent pour Isabelle Boulay
«Je me sentais le cœur comme une boîte à musique»
Il y a un peu moins d’un an, tout juste après avoir terminé son album country au Québec, Isabelle Boulay est entrée en studio à Paris. Et elle s’est sentie libérée.
Ma voix, je la sentais plus fluide qu’avant, débarrassée de plein de choses qui étaient inutiles, comme s’il y avait eu un grand nettoyage. (…) Je me sentais le cœur comme une boîte à musique», décrit la chanteuse au téléphone, du Quality Inn de Matane, où elle s’est arrêtée pour un spectacle cette semaine.
Avant d’enregistrer De retour à la source, sorti en avril l’an dernier, Isabelle Boulay travaillait déjà sur son nouveau disque, qui arrivera dans les magasins mardi.
«Mais pour moi, explique-t-elle, c’était essentiel de faire l’album De retour à la source avant. Si je ne l’avais pas fait, il y a quelque chose qui me serait resté coincé. Ça a ouvert le passage pour Nos lendemains.»
La chanteuse n’avait pas l’intention de s’offrir un deuxième disque country, mais elle voulait continuer d’explorer ses racines. Quand elle était jeune, sa mère écoutait du country, mais aussi beaucoup de chanson française et québécoise. Avec ce nouvel album, «c’est comme si j’allais ouvrir sur l’autre partie de mes influences musicales», dit-elle.
Élégance
Pour donner le ton, Isabelle Boulay est arrivée au studio parisien du réalisateur Dominique Blanc-Francard avec sa version de Coucouroucoucou Paloma, une chanson de Tomas Mendez Sosa adaptée en français par Jacques Larue et Eddy Marnay, que Nana Mouskouri a popularisée il y a plus de 30 ans.
«Je voulais avoir un album qui a cette élégance-là, mais avec le son contemporain, explique Isabelle Boulay. Si vous prêtez attention aux disques de Nana Mouskouri, ce sont des disques produits avec beaucoup d’élégance. On sentait le folklore musical, on sentait les racines de la musique. Et moi, je voulais avoir un album très féminin, très sensuel, pas trop produit. Je voulais avoir un album qui soit un peu moins lyrique.»
Une direction que Dominique Blanc-Francard souhaitait aussi prendre, note Isabelle Boulay, qui voulait travailler avec lui depuis 15 ans. Le réalisateur d’Engelberg, de Stéphane Eicher, et la Gaspésienne avaient déjà collaboré sur la chanson La lune, de l’album État d’amour. Mais c’est l’an dernier qu’ils ont décidé de faire un album ensemble.
Dominique Blanc-Francard avait été charmé par la partie acoustique d’un spectacle d’Isabelle Boulay en France. «Il m’a dit : “C’est vraiment beau, tu devrais faire un disque qui aille dans cette direction”, raconte la chanteuse. Je lui ai répondu que c’était exactement l’envie que j’avais pour mon prochain album. Et j’ai dit : “En passant, j’aimerais bien le faire avec toi”.»
Les 13 chansons de Nos lendemains ont toutes été enregistrées dans le studio de Dominique Blanc-Francard à Paris. Et elles ont été écrites et composées par une prestigieuse liste de collaborateurs, parmi lesquels Julien Clerc, Jacques Veneruso, Didier Golemanas, Benjamin Biolay, Jean-Loup Dabadie, Maxime LeForestier et Laurence Jalbert.
«Ce qui est drôle, remarque Isabelle Boulay, c’est que c’est un album qui est très féminin qui a été écrit par une majorité d’hommes. (…) Des hommes très hommes, mais très sensibles en même temps.»
Isabelle Boulay a aussi collaboré avec le romancier Guillaume Vigneault, qui a traduit la chanson Tomorrow in her eyes, de Ron Sexsmith, devenue Nos lendemains sur l’album. «Je me souviens de lui avoir fait entendre de Ron Sexsmith qu’il ne connaissait pas. (…) C’est lui qui m’a fait la surprise d’arriver chez moi avec une adaptation qui était déjà faite aux deux tiers et qu’on a terminée ensemble», raconte-t-elle.
En tournée
Avant de partir pour une grande tournée dans l’Hexagone au mois de mars, Isabelle Boulay a entamé au Québec une série de 21 représentations d’un spectacle intitulé Ta route est ma route, qui comprend les chansons de Nos lendemains, de l’album country et de ses plus grands succès. Elle sera à la salle Albert-Rousseau demain.
La mise en scène est assurée par Yves Desgagnés, bien connu des amateurs de théâtre. Michel Beaulieu, qui a travaillé avec Diane Dufresne et Michel Rivard, s’occupe des éclairages. Isabelle Boulay se réjouit de pouvoir travailler avec ces deux créateurs. «C’est comme pour une actrice d’être dirigée par un grand réalisateur.»''''''''
samantha- Saministratrice
- Nombre de messages : 3612
Localisation : Nancy
Date d'inscription : 20/04/2006
Re: Le Soleil du 23 Fevrier 2008
ET ben et ben on a en des beaux articles en ce fin de semaine .
Merci beaucoup Sam encore un superbe article.
Merci beaucoup Sam encore un superbe article.
Re: Le Soleil du 23 Fevrier 2008
Stop stop on arrive plus à suivre!
Mais merci quand même
Mais merci quand même
petite-vallée- Nombre de messages : 1772
Localisation : Lausanne
Date d'inscription : 24/04/2006
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