Le parisien ( internet ) 5 mars 2008
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Le parisien ( internet ) 5 mars 2008
La folle journée d'Isabelle Boulay Emmanuel Marolle
mercredi 05 mars 2008 | Le Parisien
La chanteuse québécoise vient d'arriver en France, où elle débutera dans quelques jours une tournée de trois mois qui fera halte à l'Olympia. Nous l'avons suivie hier dans son marathon pour défendre son nouvel album.
ELLE EST ARRIVÉE en France lundi. Isabelle Boulay pose ses valises chez nous pour trois mois, le temps d'une longue tournée pour défendre « Nos lendemains », son nouvel album sorti cette semaine. Elle s'est lancée dès hier dans le marathon de la promo.
Nous l'avons suivie à travers Paris, dans sa course entre télévisions et radios.
11 heures. La chanteuse québécoise démarre par « CD'aujourd'hui », module musical que France 2 diffusera le 10 mars. Au studio de la Grande-Armée, à côté du palais des Congrès (XVII e ), maquilleuse et coiffeur sont en retard. Le journaliste de l'émission, Patrick Castells, reste zen. Combien de temps de tournage pour deux minutes d'émission ? Il répond, amusé : « Je compte le temps d'attente ? ».
11 h 30. Enregistrement d'un titre du nouvel album en live, dans le même studio. Ambiance boisée et intime, histoire de recréer l'atmosphère de ce disque aux sonorités acoustiques. L'artiste entame « Juste une étoile », signée Maxime Le Forestier et Julien Clerc, accompagnée d'un guitariste et d'un bassiste. La caméra glisse sur le trio tandis que, derrière la table de mixage, l'entourage de la chanteuse veille au grain. Sur le crescendo final, Marc-André Chicoine, son compagnon et producteur, grimace : « Le son sature. On ne peut pas faire quelque chose ? » Sa belle se raidit. « Je ne peux pas savoir comment me placer par rapport au micro. Je ne m'entends pas. J'ai l'impression de chanter devant un mur. » Elle rate la fin de sa deuxième version. « Celle-là, on ne la gardera pas. »
« Il y a une intensité irremplaçable comme sur scène »
12 heures. Le technicien propose à la chanteuse de se réécouter. « Je ne préfère pas. Sinon, on y est jusqu'à ce soir. » Le temps de quelques photos, elle improvise avec son guitariste « Dieu des amours », ballade folk offerte par Jean-Louis Murat. « On aurait mieux fait d'enregistrer celle-là. Ç'aurait été plus naturel. » Pour les besoins de l'interview, le caméraman lui propose de s'asseoir sur une table. « Je veux bien, mais je n'ai pas 1,30 m de jambes ! » Une chaise pour reposer ses pieds fera l'affaire. Mais pas question que l'accessoire soit visible. Marc-André, homme de télé, autrefois pilier de « Surprise sur prise », a l'oeil. « On reste sur des plans serrés », annonce-t-il sans appel à l'équipe de France 2.
13 heures. Déjeuner sur le pouce dans un restaurant des Champs-Elysées. Elle se pose pour la première fois de la journée. Asperges sauce mousseline, escalope panée qu'elle grignote à moitié... « Je préfère enchaîner comme cela, rester concentrée sur les interviews. » On l'imaginerait méfiante, fragile dans les grands barnums médiatiques. « Au contraire. Je vais même faire Cauet dans quelques jours. Et j'adore le direct. Il y a une intensité irremplaçable comme sur scène. »
14 h 30. Arrivée chez RTL, dans le studio de Laurent Boyer qui la suit depuis toujours. Il lui baise la main pour la photo. Son émission interactive de l'après-midi, « la Tête dans les étoiles », permet de lui soutirer quelques confidences, au détour des « vrais-faux » posés aux auditeurs. Isabelle Boulay a donc voulu un temps être religieuse, est allergique au poisson, mais pas à Claude François qu'elle chantait, petite, dans le restaurant familial.
16 h 15. Elle enchaîne sur une interview en face à face avec Anthony Martin, diffusée ce matin à 9 heures. Elle croise Liane Foly, qui traverse le couloir à toute vitesse. « Il y a trop de Québec ici », lance-t-elle pince-sans-rire. A l'extérieur, des fans l'attendent pour une signature ou une photo.
18 heures. Le psy Gérard Miller s'interroge : « C'est libre, là-haut ? » « Non, c'est l'invitée », répond une assistante. « Et c'est qui l'invitée ? » « Isabelle Boulay ! » La chanteuse a préféré s'isoler quelques minutes dans sa loge du Moulin-Rouge avant le direct d'« On n'a pas tout dit », l'émission de Laurent Ruquier sur France 2. Au maquillage, Christine Bravo s'excite sur la présidentielle américaines et Steevy Boulay s'enthousiasme sur son nouveau statut de célibataire. Isabelle Boulay, elle, se concentre.
18 h 50. Laurent Ruquier, fraîchement arrivé sur le plateau, accueille Isabelle Boulay avec un baise-main aussi. La chanteuse joue le jeu, rebondit sur les blagues, puis se fait confisquer par les chroniqueurs et leurs rubriques. « Je préfère être dans l'action, reconnaît-elle en sortant, mais c'était bien. » Les messages sont passés tout au long de la journée : nouvel album, nouvelle tournée et surtout nouvelle orientation musicale. Mission accomplie.
Isabelle Boulay en concert le 14 mars à Tours, le 15 à Nantes, du 21 au 23 à Paris (à l'Olympia, à 20 h 30 les 21 et 22, à 17 heures le 23), le 26 à Saint-Etienne...
mercredi 05 mars 2008 | Le Parisien
La chanteuse québécoise vient d'arriver en France, où elle débutera dans quelques jours une tournée de trois mois qui fera halte à l'Olympia. Nous l'avons suivie hier dans son marathon pour défendre son nouvel album.
ELLE EST ARRIVÉE en France lundi. Isabelle Boulay pose ses valises chez nous pour trois mois, le temps d'une longue tournée pour défendre « Nos lendemains », son nouvel album sorti cette semaine. Elle s'est lancée dès hier dans le marathon de la promo.
Nous l'avons suivie à travers Paris, dans sa course entre télévisions et radios.
11 heures. La chanteuse québécoise démarre par « CD'aujourd'hui », module musical que France 2 diffusera le 10 mars. Au studio de la Grande-Armée, à côté du palais des Congrès (XVII e ), maquilleuse et coiffeur sont en retard. Le journaliste de l'émission, Patrick Castells, reste zen. Combien de temps de tournage pour deux minutes d'émission ? Il répond, amusé : « Je compte le temps d'attente ? ».
11 h 30. Enregistrement d'un titre du nouvel album en live, dans le même studio. Ambiance boisée et intime, histoire de recréer l'atmosphère de ce disque aux sonorités acoustiques. L'artiste entame « Juste une étoile », signée Maxime Le Forestier et Julien Clerc, accompagnée d'un guitariste et d'un bassiste. La caméra glisse sur le trio tandis que, derrière la table de mixage, l'entourage de la chanteuse veille au grain. Sur le crescendo final, Marc-André Chicoine, son compagnon et producteur, grimace : « Le son sature. On ne peut pas faire quelque chose ? » Sa belle se raidit. « Je ne peux pas savoir comment me placer par rapport au micro. Je ne m'entends pas. J'ai l'impression de chanter devant un mur. » Elle rate la fin de sa deuxième version. « Celle-là, on ne la gardera pas. »
« Il y a une intensité irremplaçable comme sur scène »
12 heures. Le technicien propose à la chanteuse de se réécouter. « Je ne préfère pas. Sinon, on y est jusqu'à ce soir. » Le temps de quelques photos, elle improvise avec son guitariste « Dieu des amours », ballade folk offerte par Jean-Louis Murat. « On aurait mieux fait d'enregistrer celle-là. Ç'aurait été plus naturel. » Pour les besoins de l'interview, le caméraman lui propose de s'asseoir sur une table. « Je veux bien, mais je n'ai pas 1,30 m de jambes ! » Une chaise pour reposer ses pieds fera l'affaire. Mais pas question que l'accessoire soit visible. Marc-André, homme de télé, autrefois pilier de « Surprise sur prise », a l'oeil. « On reste sur des plans serrés », annonce-t-il sans appel à l'équipe de France 2.
13 heures. Déjeuner sur le pouce dans un restaurant des Champs-Elysées. Elle se pose pour la première fois de la journée. Asperges sauce mousseline, escalope panée qu'elle grignote à moitié... « Je préfère enchaîner comme cela, rester concentrée sur les interviews. » On l'imaginerait méfiante, fragile dans les grands barnums médiatiques. « Au contraire. Je vais même faire Cauet dans quelques jours. Et j'adore le direct. Il y a une intensité irremplaçable comme sur scène. »
14 h 30. Arrivée chez RTL, dans le studio de Laurent Boyer qui la suit depuis toujours. Il lui baise la main pour la photo. Son émission interactive de l'après-midi, « la Tête dans les étoiles », permet de lui soutirer quelques confidences, au détour des « vrais-faux » posés aux auditeurs. Isabelle Boulay a donc voulu un temps être religieuse, est allergique au poisson, mais pas à Claude François qu'elle chantait, petite, dans le restaurant familial.
16 h 15. Elle enchaîne sur une interview en face à face avec Anthony Martin, diffusée ce matin à 9 heures. Elle croise Liane Foly, qui traverse le couloir à toute vitesse. « Il y a trop de Québec ici », lance-t-elle pince-sans-rire. A l'extérieur, des fans l'attendent pour une signature ou une photo.
18 heures. Le psy Gérard Miller s'interroge : « C'est libre, là-haut ? » « Non, c'est l'invitée », répond une assistante. « Et c'est qui l'invitée ? » « Isabelle Boulay ! » La chanteuse a préféré s'isoler quelques minutes dans sa loge du Moulin-Rouge avant le direct d'« On n'a pas tout dit », l'émission de Laurent Ruquier sur France 2. Au maquillage, Christine Bravo s'excite sur la présidentielle américaines et Steevy Boulay s'enthousiasme sur son nouveau statut de célibataire. Isabelle Boulay, elle, se concentre.
18 h 50. Laurent Ruquier, fraîchement arrivé sur le plateau, accueille Isabelle Boulay avec un baise-main aussi. La chanteuse joue le jeu, rebondit sur les blagues, puis se fait confisquer par les chroniqueurs et leurs rubriques. « Je préfère être dans l'action, reconnaît-elle en sortant, mais c'était bien. » Les messages sont passés tout au long de la journée : nouvel album, nouvelle tournée et surtout nouvelle orientation musicale. Mission accomplie.
Isabelle Boulay en concert le 14 mars à Tours, le 15 à Nantes, du 21 au 23 à Paris (à l'Olympia, à 20 h 30 les 21 et 22, à 17 heures le 23), le 26 à Saint-Etienne...
samantha- Saministratrice
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