L ' Avantage ( attention spoiler du spectacle )
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L ' Avantage ( attention spoiler du spectacle )
Hello,
Un nouvel article tout chaud :
''''''''Isabelle Boulay: en toute franchise
Après son spectacle « multi-média » de 2006, toujours à Desjardins-TELUS, l’interprète Isabelle Boulay revient cette fois avec un show plus simple, moins éclaté, mais toujours aussi sincère et, surtout, toujours aussi franc.
Isabelle Boulay, de plus en plus sereine.
Pas d’artifices dans cette prestation de près de deux heures, avec six musiciens, bien dirigés par Julie Lamontagne, aussi jazzwoman (qu’on a souvent vue au Festi Jazz avec son trio) et accompagnatrice de Boulay depuis des lustres), sous des éclairages précis et dans des décors tout simples, éclatants de rouge, dont la plus grande pièce est un grand divan causeuse. Qui sert bien la séquence country du spectacle.
Évidemment, Boulay ramène ses grands succès et des chansons de grands compositeurs, comme elle propose une version soutenue de « Coucouroucoucou Paloma », qui fait partie de son prochain disque, « Nos lendemains » (en vente, le mardi 4 mars), très agréable et surtout aux arrangements bien fignolés. D’ailleurs, ce spectacle est aussi remarquable par la qualité de ses orchestrations, non agressives, livrées avec une spontanéité et une maîtrise indiscutables, par ces six musiciens, complices et solides.
« J’ai souvenir encore » de Claude Dubois m’a particulièrement touché, d’abord par l’interprétation d’Isabelle Boulay, sensible et tendre, ensuite par le rappel de la dernière séquence de la série des « Lavigueur », sur cette musique, avec ce « dolly back » sur le père Lavigueur, en réflexion, revenu dans son appartement exigu du quartier qui a vu grandir sa famille… avant les millions.
Et la « section « country, issue de son excellent album, a permis de réunir toute la gang à l’avant-scène, pour des interprétations connues, attendues et fort appréciées, à entendre la réaction de la salle, remplie à capacité. « J’ai un amour qui ne veut pas mourir » a entre autres littéralement soulevé la foule.
J’ai aussi aimé entendre des chansons qu’on retrouvera sur le nouvel album de Boulay, « Juste une étoile… », de Maxime Le Forestier et de Julien Clerc (qui lui a aussi écrit « Reviens, Reviens, Reviens », fort belle chanson) et « N’aimer que t’aimer », de Didier Golemanas et Daniel Seff. Enfin, « Vouloir t’aimer » de Laurence Jalbert, sur une musique de Guy Rajotte, donne un bel exemple de la sérénité de l’interprète.
Car, ce spectacle nourrit la qualité des interprétations d’Isabelle Boulay, qui possède toujours cette superbe voix et cette incontournable présence sur scène, plus mature, plus simple, dans le sens accessible du terme. La mise en scène d’Yves Desgagnés lui permet de se rapprocher du public, de son public, tout en évoluant sur une scène aménagée de façon à lui donner toute la place, en compagnie de ses musiciens, aux bords de scène, ou franchement aux côtés de l’interprète, quand il se doit. Cette pente vers l’avant est une fort belle idée, comme la façon de créer les intermèdes de changement de robes, où les musiciens soutiennent la séquence à venir, tout en improvisant (fort joliment, d’ailleurs), jusqu’à ce que l’interprète revienne continuer son tour de chant. Même tactique, fort originale, aux rappels.
Généreuse, Isabelle Boulay a manifestement répondu aux attentes de ses admirateurs et a livré un spectacle d’une rigueur évidente, tout en se permettant des insertions spontanées, au rythme de l’atmosphère. Beau moment de franchise et de spontanéité, autant vocales que musicales. Desjardins-TELUS n’en était que plus belle et aussi chaleureuse. '''''''''
Un nouvel article tout chaud :
''''''''Isabelle Boulay: en toute franchise
Après son spectacle « multi-média » de 2006, toujours à Desjardins-TELUS, l’interprète Isabelle Boulay revient cette fois avec un show plus simple, moins éclaté, mais toujours aussi sincère et, surtout, toujours aussi franc.
Isabelle Boulay, de plus en plus sereine.
Pas d’artifices dans cette prestation de près de deux heures, avec six musiciens, bien dirigés par Julie Lamontagne, aussi jazzwoman (qu’on a souvent vue au Festi Jazz avec son trio) et accompagnatrice de Boulay depuis des lustres), sous des éclairages précis et dans des décors tout simples, éclatants de rouge, dont la plus grande pièce est un grand divan causeuse. Qui sert bien la séquence country du spectacle.
Évidemment, Boulay ramène ses grands succès et des chansons de grands compositeurs, comme elle propose une version soutenue de « Coucouroucoucou Paloma », qui fait partie de son prochain disque, « Nos lendemains » (en vente, le mardi 4 mars), très agréable et surtout aux arrangements bien fignolés. D’ailleurs, ce spectacle est aussi remarquable par la qualité de ses orchestrations, non agressives, livrées avec une spontanéité et une maîtrise indiscutables, par ces six musiciens, complices et solides.
« J’ai souvenir encore » de Claude Dubois m’a particulièrement touché, d’abord par l’interprétation d’Isabelle Boulay, sensible et tendre, ensuite par le rappel de la dernière séquence de la série des « Lavigueur », sur cette musique, avec ce « dolly back » sur le père Lavigueur, en réflexion, revenu dans son appartement exigu du quartier qui a vu grandir sa famille… avant les millions.
Et la « section « country, issue de son excellent album, a permis de réunir toute la gang à l’avant-scène, pour des interprétations connues, attendues et fort appréciées, à entendre la réaction de la salle, remplie à capacité. « J’ai un amour qui ne veut pas mourir » a entre autres littéralement soulevé la foule.
J’ai aussi aimé entendre des chansons qu’on retrouvera sur le nouvel album de Boulay, « Juste une étoile… », de Maxime Le Forestier et de Julien Clerc (qui lui a aussi écrit « Reviens, Reviens, Reviens », fort belle chanson) et « N’aimer que t’aimer », de Didier Golemanas et Daniel Seff. Enfin, « Vouloir t’aimer » de Laurence Jalbert, sur une musique de Guy Rajotte, donne un bel exemple de la sérénité de l’interprète.
Car, ce spectacle nourrit la qualité des interprétations d’Isabelle Boulay, qui possède toujours cette superbe voix et cette incontournable présence sur scène, plus mature, plus simple, dans le sens accessible du terme. La mise en scène d’Yves Desgagnés lui permet de se rapprocher du public, de son public, tout en évoluant sur une scène aménagée de façon à lui donner toute la place, en compagnie de ses musiciens, aux bords de scène, ou franchement aux côtés de l’interprète, quand il se doit. Cette pente vers l’avant est une fort belle idée, comme la façon de créer les intermèdes de changement de robes, où les musiciens soutiennent la séquence à venir, tout en improvisant (fort joliment, d’ailleurs), jusqu’à ce que l’interprète revienne continuer son tour de chant. Même tactique, fort originale, aux rappels.
Généreuse, Isabelle Boulay a manifestement répondu aux attentes de ses admirateurs et a livré un spectacle d’une rigueur évidente, tout en se permettant des insertions spontanées, au rythme de l’atmosphère. Beau moment de franchise et de spontanéité, autant vocales que musicales. Desjardins-TELUS n’en était que plus belle et aussi chaleureuse. '''''''''
samantha- Saministratrice
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Date d'inscription : 20/04/2006
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